Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Gravure | Pirates | Flibustiers | Architecture militaire | Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768) | Photographie | Île-aux-Moines (Morbihan) | Sept-Îles (Côtes-d'Armor) | Peinture | Île des Côtes-d'Armor | Ile au Moines (France) | Archipels | Archipel des Sept-Îles | Méditerranée (mer) | Peintres néerlandais | Tortue (Haïti), Île de la | Dessins et plans | Tours sèches | Boucaniers | Maures (barbaresques) | ...
Le pirate François l'Olonnais au XVIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c00bff-le-pirate-francois-l-olonnais-au-xviieme-siecle

Le pirate François l'Olonnais au XVIIème siècle

Portrait du pirate François l'Olonnais (c. 1635 – c. 1668), (De Americaensche Zeerovers, Alexandre Olivier Exquemelin, 1684).

Couverture d'une Histoire de flibustiers. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bec3c6-couverture-d-une-histoire-de-flibustiers

Couverture d'une Histoire de flibustiers

Page de couverture en néerlandais de "Histoire d'aventuriers", 1678, par Alexandre Exquemelin (1646-1707). La traduction littérale du titre néerlandais est : les Flibustiers américains - Comprenant un récit pertinent de tous les brigandages et atrocités inhumaines que les flibustiers anglais et français commirent contre les Espagnols en Amérique.

Frontispice d'Histoires d'aventuriers en 1678. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c05f48-frontispiece-d-histoires-d-aventuriers-en-1678

Frontispice d'Histoires d'aventuriers en 1678

Frontispice de l'ouvrage d'Alexandre Exquemelin, édition originale en langue néerlandaise, parue à Amsterdam en 1678 : Histoire d'aventuriers qui se sont signalés dans les Indes. La traduction littérale du titre néerlandais est : les Flibustiers américains - Comprenant un récit pertinent de tous les brigandages et atrocités inhumaines que les flibustiers anglais et français commirent contre les Espagnols en Amérique.

L’île aux Moines en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357d26c-l-ile-aux-moines

L’île aux Moines en Bretagne

L'île aux Moines (breton : Enez ar Breur ou Jentilez) est une île appartenant à l'archipel des Sept-Îles. Parmi les autres îles de son archipel, il s'agit de la seule ouverte au public. Le nom d'île aux Moines vient des moines cordeliers qui ont occupé l'île du XIVe siècle au XVe siècle. Le fort a été édifié sous Louis XV par Siméon Garangeau, un disciple de Vauban, dans le but d'arrêter les trafics de contrebande des pirates. Bâti entre 1831 et 1835 le phare est démoli en 1944 par les Allemands puis reconstruit après la guerre en 1952. Mesurant une hauteur de vingt mètres, il est l’un des derniers phares en mer à être encore habité avant d'être automatisé en 2007. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele-aux-Moines

Navire français attaqué par des pirates en Méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c00e35-navire-francais-attaque-par-des-pirates-en-mediterranee

Navire français attaqué par des pirates en Méditerranée

Navire français attaqué par des pirates (deux galiotes barbaresques), vers 1615, par le peintre néerlandais Aert Anthonisz (1580-1620). Une galiote est un navire à rames, connu aussi sous le nom de demi-galère, puis, à partir du XVIIe siècle, un voilier. La galiote porte 2 mâts avec voiles latines et 16 rangs de rames, environ. Elle est utilisée par Venise comme par les barbaresques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Galiote

Tour génoise de la Parata à Ajaccio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa47f-tour-genoise-de-la-parata-a-ajaccio

Tour génoise de la Parata à Ajaccio

Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.

Tour génoise de la Parata, 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa3c2-tour-genoise-de-la-parata-1550

Tour génoise de la Parata, 1550

Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.